Quelques tronches de vie de notre petite famille et ses peripéties.

lundi 17 novembre 2008

Le début de la fin des haricots et des carottes trop cuites...

Il est bien entendu que le Prince doit acquiescer devant un maire cet été, devant un parterre d'amis et quelques membres de la famille esbouriffés et esbaudis devant tant de bonheur. L'organisation d'un tel événement dépasse de loin l'image d'Epinal que je m'en était faite, mais, ayant pris mon parti de -souffler/respirer/souffler- faire, tel l'oiseau, petit à petit notre nid, je pensais que nous allions vers une résolution de tout les petits problèmes s'accumulants et que, en fait, je reussirais à être belle -facile-, sereine et détendue, le jour J.
Voui mais voili, c'est sans compter sur les arcanes de l'administration qui rendent public un rapport qui devait rester calfeutré dans les alcôves. Lequel rapport remet en cause la gestion financière de l'Assemblée Nationale -ben tiens- et surtout les prêts immobiliers consentits aux personnels -re ben tiens!!! Et donc, la direction administrative a profité de cette "fuite" pour decreter de but en blanc que, à compter de mi-2009, de prêts il n'y aurait plus. Hahaha, la bonne blague, fut la réaction de l'agente, mais pourtant nos dirigeants ne nous avaient point habitués à un tel humour. Laquelle agente, ne voyant de rire aucune trace en face d'elle, fut forcée d'admettre une rude réalité : en plus de convoler en noce juste, il faudrait en plus vendre La Cave pour offrir un nid plus confortable à la HappyFamily, voir eventuellement, une chambre pour chaque enfants... Et tout ça avant fin juillet s'il vous plait!!!
Le peu de santé psychologique me restant ne sera pas de trop pour gerer tout ceci. Si vous voyez une femme-sandwich se déplacer en criant : "Vends appartement, 4 pièces, atypique, proches toute commodités, pas cher", ayez pitié de moi, achetez notre Cave !!

PS: le prêt immobilier est effectivement un prêt à taux avantageux consentis par l'Assemblée Nationale à ses personnels, ceci pour compenser le fait que l'on nous demande d'être disponible à toute heures du jour ou de la nuit; de venir, même à pieds sans chaussettes les jours de grèves, et de travailler selon des horaires plus que très particuliers. Pour pallier à ceci, il faut réussir à s'installer près de Paris, ce que ledit prêt permettait... Donc, m'en fiche, si je l'ais pas je vais m'installer à Chartres, nan mais !!!

1 commentaire:

Anonyme a dit…

combien et ou? :p